Trois jours seulement après sa douche froide en Ligue des champions avec une élimination par le Panathinaïkos au troisième tour préliminaire, l’OM a arraché le match nul à Metz ce vendredi, en ouverture de la deuxième journée de Ligue 1. Entre les poteaux, la blessure de Kondogbia et les arrêts adverses, Marseille a encore été victime d’une poisse que Marcelino ne comprend pas.

Irrationnel. Trois jours après son élimination au troisième tour préliminaire de Ligue des champions face au Panathinaïkos, l’OM se contente du match nul sur la pelouse de Metz ce vendredi (2-2), en ouverture de la deuxième journée de Ligue 1. Le club olympien, déjà pas épargné dans sa double confrontation face au club grec, a encore connu la poisse dans cette rencontre, entre poteaux à répétitions, blessure de Kondogbia, but adverse sur une frappe déviée…

« Tu peux avoir de la malchance un jour, mais qu’on se retrouve dans des circonstances similaires trois jours plus tard… »

« Cela commence à faire pas mal d’années que je fais ce métier et j’ai rarement connu une telle chose, constate Marcelino en conférence de presse. En l’espace de trois jours, en deux matchs… c’est difficile à expliquer. On en a gagné un mais ça n’a pas suffi (pour la qualification), mais celui d’aujourd’hui… c’est incroyable pour moi qu’on n’ait pas eu les trois points. Tu peux avoir de la malchance un jour, mais qu’on se retrouve dans des circonstances similaires trois jours plus tard… C’est difficile. »

Comment redonner la confiance à des joueurs qui semblent sonnés, malgré une bonne prestation d’ensemble (à l’exception d’un quart d’heure de flottement)? « On inversera la tendance, avec du travail, avec de l’envie, comme le montrent les joueurs. On peut difficilement demander plus, estime le technicien de l’OM. On était très supérieurs à nos rivaux, on a eu bien plus d’occasions. Et notre adversaire nous pénalise sur pratiquement rien. »

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